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Édito
Adieu, passivité !
- Les clientes d’aujourd’hui, c'est tout vous : des femmes qui agissent -

Elles font des choix de vie et de consommation réfléchis.
Un nom a même été donné à ces nouveaux profils de clients et de clientes :
les consom’acteurs et consom’actrices. C’est-à-dire ?

C’est-à-dire que la consommatrice (puisque dans ce mag on parle essentiellement des femmes) n’est plus passive dans ses achats : elle est devenue active dans sa relation avec la marque. Elle choisit ses enseignes en fonction de critères qui lui importent à elle, personnellement : les engagements sociaux, l’écoresponsabilité, le savoir-faire, la qualité, l’innovation, la notoriété, la localisation, les valeurs, l’histoire de tel ou tel produit… En consommant ainsi et en expliquant haut et fort les raisons de leurs choix, les clientes d’aujourd’hui forcent leurs marques préférées à évoluer et c’est une excellente nouvelle !

Marques et clientes s’adressent même désormais directement la parole.
Elles dialoguent, elles co-élaborent des produits et des collections, elles donnent
leur avis. Les clientes en deviennent les meilleures ambassadrices. Après tout, c’est logique : c’est bien pour elles et grâce à elles que des marques comme la nôtre existent.
C’est pour refléter cette réalité que Princesse tam tam a lancé ce mois-ci la toute première campagne de publicité de lingerie réalisée toute entière et en beauté
avec ses vraies clientes. Vous.

Parce que si vous êtes prêtes à agir, nous aussi !

choix de femmes
Nos icônes
- Shooting exclusif : nos icônes (vous !) portent nos iconiques -

Dans le métro, sur les panneaux d’affichage, en ligne et en boutique :
nos mannequins, en mars, c’est vous !
Cela fait plusieurs années que nous adorons organiser des shootings avec nos clientes comme modèles, sous le nom #princessetamtametmoi. Une occasion en or de vous rencontrer pour de vrai, de vous mettre en valeur et de discuter de ce qui fait de vous la femme que vous êtes. Cette année, nous avons décidé qu’il était temps d’aller plus loin et de faire de ces photographies les images même de notre marque.

Le concept du shooting
9 de nos clientes ont été sélectionnées parmi une centaine de candidatures #princessetamtametmoi. Valérie, Louise, Juliette, Eléa, Venujah, Sandra, Marie, Helena et Assinri se sont transformées en modèles lingerie d’un jour pour devenir les visages et les corps d’une vraie campagne de pub.

Elles l’ont fait ? Elles vous le racontent !
Marie, 26 ans : “Enfin des marques qui osent casser ces codes absurdes et redonner une image plus réaliste et intimiste de la femme. La lingerie en dentelle que
j’ai portée pour le shooting nous met magnifiquement en valeur : un vrai déferlement
de féminité et de sensualité !”

Juliette, 46 ans : “Un très beau moment partagé avec ma fille (Eléa, 21 ans).
C’est intéressant de découvrir les dessous d’un shooting et l’investissement des personnes qui travaillent pour la marque.”

Sandra, 38 ans : ”Avec des équipes aussi rassurantes et aux petits soins, je me suis sentie tellement à l’aise que j’ai complètement pris goût à poser avec mes rondeurs et mes imperfections !”

histoire
#Consom’action
- Mais qu'est ce que c'est ? -

L’embrasement : Internet et les réseaux sociaux
Les nouvelles télécommunications (la radio, puis la télévision, puis Internet)
et les réseaux sociaux ont fortement contribué au développement
de la consom’action. Plus les innovations s’accélèrent, plus il est facile de dialoguer avec n’importe qui depuis n’importe où. Et les consommatrices ne se sont pas privées d’interpeller les marques… qui le leur rendent bien en s’appropriant à leur tour
ces codes d’expression.

Mais ça existait bien avant !
Voici un exemple bien connu : au 18ème siècle en Angleterre, un mouvement de boycott se crée contre du sucre de canne produit grâce au travail des esclaves.
La conséquence ? On voit apparaître l’inscription “sucre non produit par les esclaves” sur certains pots. Ca fonctionnait donc déjà très bien sans Instagram !

Les armes préférées des consom’acteurs et consom’actrices
Vous avez peut-être déjà manié l’une ou l’autre ! Consommer avec conscience
signifie aussi parfois refuser de cautionner certaines pratiques.
Jusqu’à agir dans l’objectif de les faire disparaître.

Le boycott : une étude menée en 2020 en Europe a montré que 37 % des personnes interrogées ont déjà tourné le dos à une marque suite à des pratiques décriées.
Les Espagnols (50 %), les Danois (45 %), les Suisses (41%) et les Français (40 %) seraient ceux qui ont le plus tendance à boycotter. Les secteurs les plus sensibles : l’alimentaire, la banque, la mode, les cosmétiques et l’automobile.
Quant aux 4 principales causes d’un boycott : la santé, l’environnement,
le bien-être animal, les matières premières et leur origine. Qu’on se le dise !

Les campagnes de dénonciation : elles sont aujourd’hui facilitées par les réseaux sociaux et les lanceurs d’alerte, et souvent identifiées par un hashtag fédérateur.

Et même si les consom’actrices sont peut-être encore une minorité, force est de constater que leurs choix provoquent des effets en chaîne et en profondeur.
Il faut bien commencer quelque part !

choisir une marque
Top 10
- Les raisons qui pousseraient une cliente à choisir une marque plutôt qu’une autre -

1. L’environnement
Parce que s'entêter à défendre le climato-scepticisme, ça revient quand même à s’enfoncer la tête dans le sable. Ce qui n’a jamais été ni très utile ni très confortable (sauf si on est une autruche).

2. La santé
Tout le monde n’a pas des allergies mais tout le monde a de bonnes raisons
de craindre des maladies bizarres produites par des produits chimiques
tout aussi bizarres.

3. Les conditions de travail
Dans certains pays, on vit encore grâce au travail des enfants (selon l’Unicef,
160 millions d’enfants de 5 à 17 ans sont contraints de travailler dans le monde)
ou avec un salaire de 4 euros par jour pour 12 heures de travail.

4. Les femmes
Même si ça fait toujours un drôle d’effet d’associer les femmes à une cause
en détresse, c’est pourtant encore le cas un peu partout. Alors oui, les femmes.

5. L’inclusivité
Inclure, ça veut dire respecter. Les entreprises inclusives ne s’arrêtent pas au genre,
à une situation de handicap, à la sexualité ou au physique.

6. La durabilité
Ce n’est pas seulement respecter l’environnement quand on peut, c’est aussi fabriquer des produits de qualité qui durent, qui peuvent se réparer et se recycler.

7. La géographie
Pas celle qu’on apprend à l’école, celle des territoires où l’on produit.
Vous avez dû remarquer que le Made in France revenait sur le devant de la scène :
c’en est un bel exemple.

8. Le savoir-faire
Certaines marques oubliées reprennent aujourd’hui de l’élan car on valorise
de nouveau quelque chose de indéniablement précieux : l’art du savoir-faire !

Et quand même…

9. Le style
On n’est pas des robots, on ne peut pas tout choisir sur des critères purement rationnels ou fonctionnels. On a aussi envie d’être stylées, ne vous en déplaise !

10. Le fun !
Puisqu’il y a tant de raisons de se préoccuper, trouvons-en encore plus de rire et de voir la vie avec gourmandise. On l’a déjà dit et on le redit toujours avec plaisir car cela fait partie de notre identité : vive l’optimisme !!